Les Balkans occidentaux devraient se rapprocher plus rapidement de l'UE

29.01.2013 16:00

Les Balkans occidentaux devraient se rapprocher plus rapidement de l'UE

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  Les Balkans occidentales devraient se rapprocher plus rapidement de l'UE

 

Les Balkans occidentales devraient se rapprocher plus rapidement de l'UE

 

La stratégie d'élargissement et la coopération régionale étaient les thèmes principaux à l'ordre du jour de la conférence annuelle organisée par le Groupe PPE au Parlement européen aujourd'hui.

 

S'adressant à ses homologues, le Président Joseph Daul a déclaré: "Le Groupe PPE a démontré qu'il était un fervent soutien des pays des Balkans dans le processus d'intégration  à l'UE. Soyez certains  que nous sommes à vos côtés pour faciliter ces réformes. Renforcer les institutions de vos pays, engager les réformes électorales,  garantir le bon fonctionnement de vos Cours constitutionnelles, améliorer le statut des minorités, vous bénéficieront en premier.N'attendez pas pour faire ces réformes. L'adhésion à l'Union européenne n'est pas une fin en soi. Au contraire, c'est un commencement: un commencement qui doit être couronné de succès."

 

Le Président de la délégation à la commission parlementaire mixte UE-Croatie, le MdPE Gunnar Hökmark, a déclaré: "La conclusion favorable à l'adhésion de la Croatie à l'UE envoie un signal fort aux autres pays de la région: l'UE est ouverte à tous ceux qui approuvent ses règles. Nous devons saisir les occasions qui se présentent aujourd'hui car, demain, ce sera trop tard. Ce que nous faisons a des conséquences sur l'avenir. L'adhésion de la Croatie est une réussite pour l'Europe entière. Les problèmes bilatéraux devraient le rester et ne pas représenter un obstacle, pour les autres pays, à devenir membres."

 

Pour Suzana Grubješić, Vice-Première ministre à l'intégration européenne de la République de Serbie, le difficile parcours de l'élargissement a pu réduire l'appétit pour l'accession. Elle a déclaré que la solidarité n'avait pas été sacrifiée sur l'autel de l'austérité. Davantage de réformes structurelles sont nécessaires à la Serbie pour garantir plus de conformité avec les acquis.

 

Majlinda Bregu, Ministre de l'intégration européenne de la république d'Albanie, a déclaré que l'approche de l'UE est une source d'inspiration pour le respect des uns et des autres et pour les pays voisins. Elle a souligné que les stratégies de communication entre les états et les régions des Balkans avaient besoin d'être améliorées et développées tout comme l'engagement vers l'Europe et la démocratie. Elle a ajouté que la lutte contre le crime organisé et la corruption était la première des  priorités pour l'Albanie.

 

Antonio Milošoski, Président de la Commission Affaires étrangères du Parlement de l'ancienne république yougoslave de Macédoine a rappelé que le pays avait une longue expérience de candidat et que le statu quo n'était pas acceptable, pour la Macédoine comme pour l'UE. Le pays et les institutions sont très bien préparés pour que les négociations puissent être engagées; cependant, les questions bilatérales ne devraient pas devenir un obstacle à l'adhésion. Il a confirmé que le gouvernement de Skopje aimerait que la CE s'engage à résoudre la question du nom comme elle l'a fait avec la Croatie et la Slovénie.

 

Stefan Füle, Commissaire européen à l'élargissement et à la politique européenne de voisinage, a déclaré que l'élan pour l'élargissement était là et qu'il était crucial de le maintenir en 2013. Le Commissaire a souligné que la Commission européenne ne souhaitait pas que les questions bilatérales soient importées dans l'UE et qu'elles ne devaient pas mettre en danger le processus d'adhésion. Il a répété que la Commission était favorable à l'ouverture des négociations avec l'ancienne république yougoslave de Serbie et Macédoine.

 

"Il est temps de penser au futur de la région. Je suis convaincu qu'il se fera dans une Union encore plus forte. Pour y parvenir, il faut un sérieux engagement dans l'agenda européen et des partenaires crédibles dans la région", a déclaré Eduard Kukan, MdPE, Président de la délégation pour les relations avec les Balkans occidentales et ancien Ministre des affaires étrangères de Slovaquie.

Les Balkans occidentales devraient se rapprocher plus rapidement de l'UE

 

 

 

La stratégie d'élargissement et la coopération régionale étaient les thèmes principaux à l'ordre du jour de la conférence annuelle organisée par le Groupe PPE au Parlement européen aujourd'hui.

 

 

 

S'adressant à ses homologues, le Président Joseph Daul a déclaré: "Le Groupe PPE a démontré qu'il était un fervent soutien des pays des Balkans dans le processus d'intégration  à l'UE. Soyez certains  que nous sommes à vos côtés pour faciliter ces réformes. Renforcer les institutions de vos pays, engager les réformes électorales,  garantir le bon fonctionnement de vos Cours constitutionnelles, améliorer le statut des minorités, vous bénéficieront en premier.N'attendez pas pour faire ces réformes. L'adhésion à l'Union européenne n'est pas une fin en soi. Au contraire, c'est un commencement: un commencement qui doit être couronné de succès."

 

 

 

Le Président de la délégation à la commission parlementaire mixte UE-Croatie, le MdPE Gunnar Hökmark, a déclaré: "La conclusion favorable à l'adhésion de la Croatie à l'UE envoie un signal fort aux autres pays de la région: l'UE est ouverte à tous ceux qui approuvent ses règles. Nous devons saisir les occasions qui se présentent aujourd'hui car, demain, ce sera trop tard. Ce que nous faisons a des conséquences sur l'avenir. L'adhésion de la Croatie est une réussite pour l'Europe entière. Les problèmes bilatéraux devraient le rester et ne pas représenter un obstacle, pour les autres pays, à devenir membres."

 

 

 

Pour Suzana Grubješić, Vice-Première ministre à l'intégration européenne de la République de Serbie, le difficile parcours de l'élargissement a pu réduire l'appétit pour l'accession. Elle a déclaré que la solidarité n'avait pas été sacrifiée sur l'autel de l'austérité. Davantage de réformes structurelles sont nécessaires à la Serbie pour garantir plus de conformité avec les acquis.

 

 

 

Majlinda Bregu, Ministre de l'intégration européenne de la république d'Albanie, a déclaré que l'approche de l'UE est une source d'inspiration pour le respect des uns et des autres et pour les pays voisins. Elle a souligné que les stratégies de communication entre les états et les régions des Balkans avaient besoin d'être améliorées et développées tout comme l'engagement vers l'Europe et la démocratie. Elle a ajouté que la lutte contre le crime organisé et la corruption était la première des  priorités pour l'Albanie.

 

 

 

Antonio Milošoski, Président de la Commission Affaires étrangères du Parlement de l'ancienne république yougoslave de Macédoine a rappelé que le pays avait une longue expérience de candidat et que le statu quo n'était pas acceptable, pour la Macédoine comme pour l'UE. Le pays et les institutions sont très bien préparés pour que les négociations puissent être engagées; cependant, les questions bilatérales ne devraient pas devenir un obstacle à l'adhésion. Il a confirmé que le gouvernement de Skopje aimerait que la CE s'engage à résoudre la question du nom comme elle l'a fait avec la Croatie et la Slovénie.

 

 

 

Stefan Füle, Commissaire européen à l'élargissement et à la politique européenne de voisinage, a déclaré que l'élan pour l'élargissement était là et qu'il était crucial de le maintenir en 2013. Le Commissaire a souligné que la Commission européenne ne souhaitait pas que les questions bilatérales soient importées dans l'UE et qu'elles ne devaient pas mettre en danger le processus d'adhésion. Il a répété que la Commission était favorable à l'ouverture des négociations avec l'ancienne république yougoslave de Serbie et Macédoine.

 

 

 

"Il est temps de penser au futur de la région. Je suis convaincu qu'il se fera dans une Union encore plus forte. Pour y parvenir, il faut un sérieux engagement dans l'agenda européen et des partenaires crédibles dans la région", a déclaré Eduard Kukan, MdPE, Président de la délégation pour les relations avec les Balkans occidentales et ancien Ministre des affaires étrangères de Slovaquie.

 

Les Balkans occidentales devraient se rapprocher plus rapidement de l'UE

 

 

 

La stratégie d'élargissement et la coopération régionale étaient les thèmes principaux à l'ordre du jour de la conférence annuelle organisée par le Groupe PPE au Parlement européen aujourd'hui.

 

 

 

S'adressant à ses homologues, le Président Joseph Daul a déclaré: "Le Groupe PPE a démontré qu'il était un fervent soutien des pays des Balkans dans le processus d'intégration  à l'UE. Soyez certains  que nous sommes à vos côtés pour faciliter ces réformes. Renforcer les institutions de vos pays, engager les réformes électorales,  garantir le bon fonctionnement de vos Cours constitutionnelles, améliorer le statut des minorités, vous bénéficieront en premier.N'attendez pas pour faire ces réformes. L'adhésion à l'Union européenne n'est pas une fin en soi. Au contraire, c'est un commencement: un commencement qui doit être couronné de succès."

 

 

 

Le Président de la délégation à la commission parlementaire mixte UE-Croatie, le MdPE Gunnar Hökmark, a déclaré: "La conclusion favorable à l'adhésion de la Croatie à l'UE envoie un signal fort aux autres pays de la région: l'UE est ouverte à tous ceux qui approuvent ses règles. Nous devons saisir les occasions qui se présentent aujourd'hui car, demain, ce sera trop tard. Ce que nous faisons a des conséquences sur l'avenir. L'adhésion de la Croatie est une réussite pour l'Europe entière. Les problèmes bilatéraux devraient le rester et ne pas représenter un obstacle, pour les autres pays, à devenir membres."

 

 

 

Pour Suzana Grubješić, Vice-Première ministre à l'intégration européenne de la République de Serbie, le difficile parcours de l'élargissement a pu réduire l'appétit pour l'accession. Elle a déclaré que la solidarité n'avait pas été sacrifiée sur l'autel de l'austérité. Davantage de réformes structurelles sont nécessaires à la Serbie pour garantir plus de conformité avec les acquis.

 

 

 

Majlinda Bregu, Ministre de l'intégration européenne de la république d'Albanie, a déclaré que l'approche de l'UE est une source d'inspiration pour le respect des uns et des autres et pour les pays voisins. Elle a souligné que les stratégies de communication entre les états et les régions des Balkans avaient besoin d'être améliorées et développées tout comme l'engagement vers l'Europe et la démocratie. Elle a ajouté que la lutte contre le crime organisé et la corruption était la première des  priorités pour l'Albanie.

 

 

 

Antonio Milošoski, Président de la Commission Affaires étrangères du Parlement de l'ancienne république yougoslave de Macédoine a rappelé que le pays avait une longue expérience de candidat et que le statu quo n'était pas acceptable, pour la Macédoine comme pour l'UE. Le pays et les institutions sont très bien préparés pour que les négociations puissent être engagées; cependant, les questions bilatérales ne devraient pas devenir un obstacle à l'adhésion. Il a confirmé que le gouvernement de Skopje aimerait que la CE s'engage à résoudre la question du nom comme elle l'a fait avec la Croatie et la Slovénie.

 

 

 

Stefan Füle, Commissaire européen à l'élargissement et à la politique européenne de voisinage, a déclaré que l'élan pour l'élargissement était là et qu'il était crucial de le maintenir en 2013. Le Commissaire a souligné que la Commission européenne ne souhaitait pas que les questions bilatérales soient importées dans l'UE et qu'elles ne devaient pas mettre en danger le processus d'adhésion. Il a répété que la Commission était favorable à l'ouverture des négociations avec l'ancienne république yougoslave de Serbie et Macédoine.

 

 

 

"Il est temps de penser au futur de la région. Je suis convaincu qu'il se fera dans une Union encore plus forte. Pour y parvenir, il faut un sérieux engagement dans l'agenda européen et des partenaires crédibles dans la région", a déclaré Eduard Kukan, MdPE, Président de la délégation pour les relations avec les Balkans occidentales et ancien Ministre des affaires étrangères de Slovaquie.

 

La stratégie d'élargissement et la coopération régionale étaient les thèmes principaux à l'ordre du jour de la conférence annuelle organisée par le Groupe PPE au Parlement européen aujourd'hui.

S'adressant à ses homologues, le Président Joseph Daul a déclaré: "Le Groupe PPE a démontré qu'il était un fervent soutien des pays des Balkans dans le processus d'intégration  à l'UE. Soyez certains  que nous sommes à vos côtés pour faciliter ces réformes. Renforcer les institutions de vos pays, engager les réformes électorales,  garantir le bon fonctionnement de vos Cours constitutionnelles, améliorer le statut des minorités, vous bénéficieront en premier. N'attendez pas pour faire ces réformes. L'adhésion à l'Union européenne n'est pas une fin en soi. Au contraire, c'est un commencement: un commencement qui doit être couronné de succès."

Le Président de la délégation à la commission parlementaire mixte UE-Croatie, le MdPE Gunnar Hökmark, a déclaré: "La conclusion favorable à l'adhésion de la Croatie à l'UE envoie un signal fort aux autres pays de la région: l'UE est ouverte à tous ceux qui approuvent ses règles. Nous devons saisir les occasions qui se présentent aujourd'hui car, demain, ce sera trop tard. Ce que nous faisons a des conséquences sur l'avenir. L'adhésion de la Croatie est une réussite pour l'Europe entière. Les problèmes bilatéraux devraient le rester et ne pas représenter un obstacle, pour les autres pays, à devenir membres."

Pour Suzana Grubješić, Vice-Première ministre à l'intégration européenne de la République de Serbie, le difficile parcours de l'élargissement a pu réduire l'appétit pour l'accession. Elle a déclaré que la solidarité n'avait pas été sacrifiée sur l'autel de l'austérité. Davantage de réformes structurelles sont nécessaires à la Serbie pour garantir plus de conformité avec les acquis.

Majlinda Bregu, Ministre de l'intégration européenne de la république d'Albanie, a déclaré que l'approche de l'UE est une source d'inspiration pour le respect des uns et des autres et pour les pays voisins. Elle a souligné que les stratégies de communication entre les états et les régions des Balkans avaient besoin d'être améliorées et développées tout comme l'engagement vers l'Europe et la démocratie. Elle a ajouté que la lutte contre le crime organisé et la corruption était la première des  priorités pour l'Albanie.

Antonio Milošoski, Président de la Commission Affaires étrangères du Parlement de l'ancienne république yougoslave de Macédoine a rappelé que le pays avait une longue expérience de candidat et que le statu quo n'était pas acceptable, pour la Macédoine comme pour l'UE. Le pays et les institutions sont très bien préparés pour que les négociations puissent être engagées; cependant, les questions bilatérales ne devraient pas devenir un obstacle à l'adhésion. Il a confirmé que le gouvernement de Skopje aimerait que la CE s'engage à résoudre la question du nom comme elle l'a fait avec la Croatie et la Slovénie.

Stefan Füle, Commissaire européen à l'élargissement et à la politique européenne de voisinage, a déclaré que l'élan pour l'élargissement était là et qu'il était crucial de le maintenir en 2013. Le Commissaire a souligné que la Commission européenne ne souhaitait pas que les questions bilatérales soient importées dans l'UE et qu'elles ne devaient pas mettre en danger le processus d'adhésion. Il a répété que la Commission était favorable à l'ouverture des négociations avec l'ancienne république yougoslave de Serbie et Macédoine.

"Il est temps de penser au futur de la région. Je suis convaincu qu'il se fera dans une Union encore plus forte. Pour y parvenir, il faut un sérieux engagement dans l'agenda européen et des partenaires crédibles dans la région", a déclarLa stratégie d'élargissement et la coopération régionale étaient les thèmes principaux à l'ordre du jour de la conférence annuelle organisée par le Groupe PPE au Parlement européen aujourd'hui.

 

S'adressant à ses homologues, le Président Joseph Daul a déclaré: "Le Groupe PPE a démontré qu'il était un fervent soutien des pays des Balkans dans le processus d'intégration  à l'UE. Soyez certains  que nous sommes à vos côtés pour faciliter ces réformes. Renforcer les institutions de vos pays, engager les réformes électorales,  garantir le bon fonctionnement de vos Cours constitutionnelles, améliorer le statut des minorités, vous bénéficieront en premier.N'attendez pas pour faire ces réformes. L'adhésion à l'Union européenne n'est pas une fin en soi. Au contraire, c'est un commencement: un commencement qui doit être couronné de succès."

 

Le Président de la délégation à la commission parlementaire mixte UE-Croatie, le MdPE Gunnar Hökmark, a déclaré: "La conclusion favorable à l'adhésion de la Croatie à l'UE envoie un signal fort aux autres pays de la région: l'UE est ouverte à tous ceux qui approuvent ses règles. Nous devons saisir les occasions qui se présentent aujourd'hui car, demain, ce sera trop tard. Ce que nous faisons a des conséquences sur l'avenir. L'adhésion de la Croatie est une réussite pour l'Europe entière. Les problèmes bilatéraux devraient le rester et ne pas représenter un obstacle, pour les autres pays, à devenir membres."

 

Pour Suzana Grubješić, Vice-Première ministre à l'intégration européenne de la République de Serbie, le difficile parcours de l'élargissement a pu réduire l'appétit pour l'accession. Elle a déclaré que la solidarité n'avait pas été sacrifiée sur l'autel de l'austérité. Davantage de réformes structurelles sont nécessaires à la Serbie pour garantir plus de conformité avec les acquis.

 

Majlinda Bregu, Ministre de l'intégration européenne de la république d'Albanie, a déclaré que l'approche de l'UE est une source d'inspiration pour le respect des uns et des autres et pour les pays voisins. Elle a souligné que les stratégies de communication entre les états et les régions des Balkans avaient besoin d'être améliorées et développées tout comme l'engagement vers l'Europe et la démocratie. Elle a ajouté que la lutte contre le crime organisé et la corruption était la première des  priorités pour l'Albanie.

 

Antonio Milošoski, Président de la Commission Affaires étrangères du Parlement de l'ancienne république yougoslave de Macédoine a rappelé que le pays avait une longue expérience de candidat et que le status quo n'était pas acceptable, pour la Macédoine comme pour l'UE. Le pays et les institutions sont très bien préparés pour que les négociations puissent être engagées; cependant, les questions bilatérales ne devraient pas devenir un obstacle à l'adhésion. Il a confirmé que le gouvernement de Skopje aimerait que la CE s'engage à résoudre la question du nom comme elle l'a fait avec la Croatie et la Slovénie.

 

Stefan Füle, Commissaire européen à l'élargissement et à la politique européenne de voisinage, a déclaré que l'élan pour l'élargissement était là et qu'il était crucial de le maintenir en 2013. Le Commissaire a souligné que la Commission européenne ne souhaitait pas que les questions bilatérales soient importées dans l'UE et qu'elles ne devaient pas mettre en danger le processus d'adhésion. Il a répété que la Commission était favorable à l'ouverture des négociations avec l'ancienne république yougoslave de Serbie et Macédoine.

 

"Il est temps de penser au futur de la région. Je suis convaincu qu'il se fera dans une Union encore plus forte. Pour y parvenir, il faut un sérieux engagement dans l'agenda européen et des partenaires crédibles dans la région", a déclaré Eduard Kukan, MdPE, Président de la délégation pour les relations avec les Balkans occidentales et ancien Ministre des affaires étrangères de Slovaquie.

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